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lundi 21 janvier 2019

La yourte

Voici le montage de la yourte qu'on a acheté avec l'argent de la collecte pour continuer la vie associetive au portail. Merci a tous le monde qui a donné et a Terre de Liens pour le soutiens pour la collecte.

samedi 30 décembre 2017

Cherche associé(e)




<L'equipe en 2018>





Cherche associé(e), élevage ovin lait
nos brebis
Saône et Loire / Bresse - Ferme Terre de Liens, créée en 2009 en GAEC à 3 associés. Activités : maraîchage, élevage de brebis /chèvres avec transformation de lait, vente directe (marchés) et circuit court (magasins/restaurants), SAU 45 ha, en AB. La ferme est dans une dynamique à la fois productive et respectueuse de l’homme, de l’animal et de l’environnement. Nous cherchons une personne motivée par une gestion et prise de décisions collectives, pour reprendre l’activité de berger/cultivateur sur un troupeau de 90 basco-béarnaises en production. Le Gaec est ouvert aux évolutions possibles des ateliers. Des compétences en commercialisation et transformation seraient appréciées. La transmission du poste peut se faire graduellement via un plan de parrainage entre l'actuel berger et le candidat jusque fin 2018. Le Gaec permet de générer au minimum un SMIC par associé, la reprise de 1/3 du capital social s'élève à 53.000 euros (aménagements possibles).
Fermedujointout@gmail.com

nos fromages

dimanche 19 mars 2017

Chantier a la maison

On continue le chantier a la maison accompagné par Wilfried de l'association Le Queirau.

mercredi 18 janvier 2017

Cherche associé(e)

Cherche associé(e)
Saône et Loire - Ferme Terre de Liens dans la Bresse bourguignonne en GAEC à trois associés, installé depuis 2009, SAU 45 ha, en AB, maraîchage, élevage de brebis /chèvre avec transformation de lait. Il y a un troupeau de 40 chèvres poitevine et 100 brebis basco béarnaise.

Nous sommes des néo ruraux. Adèle, la chevrière est américaine, Thomas, le maraîcher est allemand et Yan, le berger est français. Nos chemins se sont croisé en Alsace. Nous nous sommes associés pour transformer une ancienne ferme d’élevage traditionnel en une ferme en production biologique diversifiée grâce au soutien de Gabriel, le cédant, qui est toujours présent sur la ferme. On habite en campagne mais on essaie de garder une ouverture vers le monde. Le wwoof et l'eco lieu attirent des gens qui viennent pour travailler et échanger avec nous.
On commercialise surtout en direct avec vente à la ferme et sur les marchés (Lons, Beaune et Nuit St. George) et en circuit court (magasins et restaurants). La ferme est dans une dynamique à la fois productive et respectueuse de l'homme, de l'animal et de l’environnement. Les associés font partie d'un groupe qui développe un écolieu sur place afin d'y installer plusieurs activités professionnelles, auto-construire un habitat groupé et dynamiser la vie culturelle locale.
Pour l'instant nous avons construit un bâtiment professionnel et associatif et nous rénovons actuellement une maison pour la transformer en gîte. On organise des ateliers de cuisines, chantiers participatifs, marché de producteurs etc. On mange ensemble à midi et il y a toujours 10-20 personnes. On aime le fait que parfois, on parle plusieurs langues à table.
Nous sommes également engagés politiquement (confédération paysanne, Terre de Liens, l'association autour de l'eco-lieu).
Parce que le berger l'actuel va se retirer petit a petit pour se concentrer sur d'autres projet sur l'eco-lieu on cherche quelqu'un de dynamique et de motivé par le travail coopératif pour reprendre l'activité d'éleveur de brebis/cultivateur. Les champs de responsabilités aujourd'hui sont la gestion du troupeau de 100 brebis laitières, un petit élevage des cochons, les foins et la gestion des parc de pâturage pour les deux troupeaux et la culture de céréales pour l'autoconsommation. On cherche quelqu'un avec de l’expérience dans l'élevage de brebis et la conduite de tracteur.
7 ans après l’installation on sent que la ferme tourne bien et on cherche aussi a agrandir l'équipe et diversifier la ferme. Il y a également possibilité d'intégrer des activités volaille, apiculture, arboriculture, paysan boulanger(… ) au sein du GAEC. Nous travaillons actuellement avec un voisin qui développe son activité de petits fruits et vaches laitières.
Nous recherchons des gens qui s’intéressent à l'ensemble de la ferme et au projet d'eco-lieu, d'autres métiers sont les bienvenus.



mardi 27 mai 2014

Soirée jeu à Beaune - Terre de liens

Voici la prochaine événement pour créer un groupe local Terre de Liens autour de la ferme.  Venez nombreux pour découvrir la ferme et l'esprit TDL! 

mercredi 18 septembre 2013

Eco lieu Le portail - Vivre et travailler autrement

jointout-écolieu-habitat-groupé

Voici un article sur l'eco-lieu par Emmanuel Daniel qui  avec son parcour de la Tour de France des alternatives "pendant six mois compte aller à la rencontre de ceux qui construisent aujourd’hui la France de demain et qui expérimentent localement des solutions aux crises actuelles, qu’elles soient économiques, politiques, environnementales ou sociales". Il a fait station au portail cet été.


"Ils ne se connaissaient pas mais partageaient un même projet : habiter un logement groupé autoconstruit et écologique. Alors ils se sont rassemblés et ont créé l'écolieu du Jointout, un espace à la frontière entre regroupement agricole et lieu de vie collectif.
Vivre et travailler autrement. Voilà ce qui a poussé 4 familles qui pour la plupart ne se connaissaient pas à se réunir pour réfléchir à la mise en place d’un d’écolieu« L’idée était de créer un habitat groupé en autoconstruction, écologique, avec certaines infrastructures partagées comme une bibliothèque, la buanderie, une salle commune ou une voiture », explique Thomas, un maraîcher allemand engagé dans l’aventure.
Dès le départ, le groupe qui s’est constitué autour du projet a émis le souhait de s’installer en compagnie d’agriculteurs. « On ne voulait pas que ce soit un écolieu dortoir, d’où l’importance d’avoir des gens qui travaillent sur place. Et puis les agriculteurs sont les professions les plus indispensables à l’humanité », estime André, un autre protagoniste du projet.
Une aubaine pour Adèle, bergère états-unienne, qui voulait « réduire [s]on impact sur les terres agricoles mangées chaque année par l’urbanisation » et travailler à proximité de son lieu de vie. Irène quant à elle avait à cœur de « ne pas rester dans la révolte et d’agir concrètement contre l’individualisme, la destruction de la planète et des hommes ». Son époux, Dominique, reconverti dans la boulangerie bio était également « fatigué de voir des gens qui sont uniquement dans la protestation mais qui ne font rien. Maintenant, je suis content de dire : mais si on peut faire des choses ». Quant à André et Françoise, un couple de jeunes retraités, c’est la peur de l’isolement et de la dépendance qui les a motivés a tenter l’aventure du collectif : « On a pris conscience de ça en voyant nos parents décliner. Eux avaient leurs enfants à proximité, nous ce n’est pas le cas. On se demandait comment on allait vieillir ».

Besoin de cohérence

Et même si les motivations de chacun diffèrent, ils partagent tous l’envie de « mettre leur vie en cohérence avec leur principes ». Alors, pour donner corps à ce projet d’habitat groupé, ils ont créé en 2007 l’association « du grain à moudre ». Pendant 3 ans, ils se sont réunis chaque mois pour débattre de la forme que prendrait leur futur logement commun et pour travailler sur les statuts et la recherche du lieu.
En 2010, ils jettent leur dévolu sur une ancienne exploitation agricole à Torpes, petit village au cœur de la Bresse. Dans la foulée, ils créent une société civile immobilière pour acheter ensemble 3 hectares de terrain qui serviront à accueillir leur futur habitat. L’association Terre de liens, qui aide des agriculteurs à s’installer ou à se maintenir, a acheté les 40 hectares de terres restant qu’elle loue au maraîcher et aux éleveurs de l’écolieu.

Mutualisation du matériel

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Afin de pouvoir commencer les travaux, les 4 familles s’installent sur les lieux dans des maisons en location. La priorité est mise sur les bâtiments professionnels qui sont vite édifiés, notamment celui qui accueillera la boutique commune du maraîcher, des fromagers et du boulanger. Pour les agriculteurs, tout se passe comme prévu. Ils ont pu commencer leur activité et organisent des ventes à la ferme et distribuent leur production dans des Amap ou lors des marchés.
Ce regroupement, au delà de l’aspect social comporte de nombreux avantages pour les jeunes paysans : « On partage du matériel, on se relaie pour faire les marchés, et on mutualise les bâtiments professionnels. Nous ne dépendons pas de l’extérieur, le foin, les céréales et la paille pour les bêtes sont faits ici. Le fait de travailler ensemble nous permet aussi de nous relayer pour les week-ends car traditionnellement, dans les fermes familiales, tu ne peux jamais partir, ici c’est possible », se réjouit Thomas.
Mais si les installations agricoles sont presque toutes en état de marche, les travaux du bâtiment d’habitation, eux, n’ont commencé que cet été. Néanmoins, bien qu’ils n’habitent pas encore ensemble, la cohabitation a déjà commencé. Tous les midis de la semaine, ils mangent ensemble un repas préparé par l’une des familles. Ils se réunissent également une fois par semaine pour régler les affaires courantes et une fois par mois, parfois pendant un week-end entier, pour réfléchir à l’avenir.

Apprentissage de la cohabitation

Et la vie en collectif n’est pas toujours aisée. « Dès que tu veux faire quelque chose à plusieurs c’est problématique, parfois vraiment chiant. En couple c’est déjà compliqué. Là, c’est comme un deuxième couple sauf qu’on est pas mariés avec eux ! », ironise Thomas. Yann, le berger du groupe, prend également l’exemple des relations amoureuses pour décrire son ressenti : « Ce projet, c’est comme dans un couple, au début tout se passe bien, mais un moment, le côté humain ressort et les projections de chacun se confrontent », analyse-t-il. Chaque membre veut défendre sa vision du projet et convaincre le reste du groupe.
Alors, pour éviter les clashs, il faut « accepter les défauts des autres et le fait qu’on ne soit pas parfaits », estime Irène. Faute de quoi, « on pourrait passer notre temps à se chercher des poux dans la tête. Tout le monde a l’impression de faire plus que les autres », raconte Dominique.
Mais même si les débats sont parfois houleux, les futurs habitants ne regrettent pas leur engagement : « On apprend plein de choses. Chacun arrive avec ses compétences, sa sensibilité différente. Ça contribue à la bonne santé d’un groupe. On voit se dégager une forme d’intelligence qui dépasse les individus, chacun met son égo de côté. C’est une forme d’abandon de chaque membre du groupe face au collectif », résume Yann dans un accès de lyrisme.

Pas de recette miracle

Et pour que les débats se passent dans les meilleures conditions possibles, ils ont mis en place des méthodes de communication afin que chacun puisse s’exprimer. A chaque réunion, une personne est en charge de la distribution des tours de paroles et une autre s’occupe de la rédaction du compte-rendu. Ils utilisent également des cartons de couleur pour exprimer leur désaccord ou demander des précisions sans avoir à se couper la parole. Les décisions sont prises au consensus et non au vote pour éviter la frustration de ceux qui verraient leur avis rejeté par ce que l’on appelle couramment « la dictature de la majorité ».
Néanmoins, pour que ce genre de projet fonctionne, « il n’y a pas de recette miracle. C’est presque un coup de bol si ça marche, s’amuse Dominique. Ça dépend de la bonne volonté des gens »… Et de leur capacité à se mettre d’accord sur un projet commun. Pas toujours facile lorsqu’on vit dans une société ou les rapports humains sont basés principalement sur la compétition et non la coopération. Néanmoins, Dominique relativise la difficulté de cette aventure :
« Quand on était dans l’abstrait, on avait l’impression de créer quelque chose d’extraordinaire. Maintenant qu’on a commencé, on trouve ça banal. Le plus extraordinaire c’est de rencontrer des gens et de vivre cette expérience avec eux ».

Emmanuel Daniel, La tour de france des alternatives

lundi 9 septembre 2013

Au nom de la terre

Terre de liens organise un evenement avec nous a Beaune le lundi 16 septembre à 19 h 45 au Cap Cinéma de Beaune avec la projection du film documentaire Au nom de la terre , laquelle sera suivie d’une discussion sur la problematique d'access au foncier agricole. On espere aussi de dynamiser la collecte pour financer l'achat de la ferme par terre de liens.




samedi 23 février 2013

Die Zeit

Hier ist ein link für (m)einen Leserartikel in der Zeit über unseren Hof und Terre de Liens.

samedi 17 novembre 2012

Petite annonce

Terre de Liens Petite annonce pour grands projets
Terre de Liens diffuse dans toute la France une « petite annonce pour grands projets »
Image petite annonceTerres agricoles sortant d'une histoire difficile recherchent citoyen-ne-s motivé-e-s pour s'engager dans relation durable et faire pousser ensemble des fermes bio. 

Et si c’était vous ? Pour le savoir, prenez une minute pour répondre à notre test :

En France, une ferme disparaît toutes les 50 minutes. On vous annonce la disparition imminente de la dernière ferme... Quelle est votre réaction ?
* Enfin un monde moderne libéré du travail manuel !
- C'est grave. Si j'avais su plus tôt...
^ Ah ! Voilà une anecdote pas croyable à raconter ce soir au resto.
Savez-vous d'où proviennent les épinards que vous avez mangés la semaine dernière ?
* Impossible, je ne mange pas de légumes...
- J'ai la chance d'avoir une vente à la ferme près de chez moi, mais ça ne court pas les rues...
^ Ils viennent de mon congélateur, pourquoi ?

Vous apprenez qu'en 2012, pour un agriculteur qui cherche à s'installer, c'est le parcours du combattant ! Votre première pensée ?
^ Dommage ! Mais je ne vois pas vraiment en quoi je suis concerné-e...

* Il existe tellement d'autres métiers, qu'il se réoriente !
- Ce n'est pas normal, en s'y mettant à plusieurs on devrait trouver des solutions.
Résultats...
C'est bien vous que nous cherchons !
Vous avez une majorité de *
Il faut se l'avouer, le chemin est encore long... Ce message changera peut-être votre regard sur les enjeux agricoles !


Vous avez une majorité de ^
Vous avez fait la moitié du chemin et vous trouvez à une intersection... La bonne direction est à portée de clic !


Vous avez une majorité de -
Vous êtes prêts à répondre à l'annonce !


Vous trouverez ci-contre tout ce qu'il faut pour en savoir plus sur Terre de Liens et sur ce que vous pouvez faire pour soutenir le mouvement et les paysans qui font appel à nous.


Et ci dessous, une vidéo pour découvrir l'action du mouvement ainsi que les événements Terre de Liens près de chez vous...

Agir concrètement pour permettre l'installation de paysans et le développement d'une agriculture biologique, voilà ce que propose le mouvement Terre de Liens.

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 Suivez-nous!
Terre de Liens
10, rue Archinard
26400 Crest
Tél : 09 70 20 31 09
Courriel : petiteannonce@terredeliens.org


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dimanche 20 mai 2012

The yard is done


We are so happy, maybe it looks a bit bleak, but before it was just a mudhole and now I can acces the former stable by car and load and unload vegetables. This is where the cold store is and where I am going to prepare and wash vegetables in the future. Terre de liens paid for it. Gotta do some landscaping now and fence in those ducks, because they poop everywhere.